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Comment sont réalisées les prises de vues du lien ci dessous ? je suppose de la maitrise de la gestion des flux mais je serai bien curieux de savoir comment est réalisé le traitement car j'adore le traitement blanc !!

Le site

C'est une belle série "high key". Elle se caractérise par un histogramme tassé sur la droite de l'image.

La technique demande une belle maîtrise de l'éclairage afin de minimiser au maximum les hombres. Ensuite, le travail de retouche consister à pousser les blanc sans les cramer.


Un petit tuto.

Oui, Studio + High Key....

Pas forcément évident au début, mais j'imagine que tout s'apprend...

Maximor tt aussi admiratif...

Je cherchais le nom de la technique merci remi_fr je vais regarder ton lien

Ouais Maxou moi aussi suis admiratif

Bon cela me donne vraiment envie d'essayer j'ai vue des stages sur paris un peu cher mais bon avec un livre c'est difficile d'apprendre !

Qu'est ce je peux détester ces images de mer.de.

C'est sur que ces gars devraient écrire un bouquin genre "comment paraitre un photographe in quand on a un talent et des connaissances techniques qui plafonnent aux environs du zero absolu!"

Ce n'est pas du high-Key ça... du Hegh Key new wave realisé en écrétant les tons et les densités avec une trancheuse à jambon.
Tout au plus.

Franchement, ce genre de truc préfabriqué, c'est à gerber.
Je n'aborde même pas le chapitre "créativité": une page blanche fera largement l'affaire.


V.

Je rejoins vdragon, on dirait des billes de verre plantées dans des faces de cire tendance fromage blanc...

Après tout c'est une question de sensibilité et de goût personnel...
Moi ces photos ne me parlent absolument pas, voilà tout.
Ce n'est pas ce que j'attends de la photographie mais encore une fois ce n'est que mon avis.

Je ne suis pas trop d'accord avec les critiques qui descendent en flamme le high key simplement parce que c'est du high key.
C'est certain que si la seule raison d'être d'un portrait est "d'être un high key", le résultat risque de ne pas être transcendant. Ce type de photo permet néanmoins d'apprendre à maîtriser la technique pour, ensuite, pouvoir l'exploiter à bon escient, quand elle apportera quelque chose au sujet.

C'est certain que photographier un vieux loup de mer en high key risque de tomber à plat. Par contre, dans certains cas, j'aime le côté doux qu'il donne aux portraits.
Par exemple, Maximor a fait tirer hier un portrait de sa fille qui peut être considéré comme un high key et je l'ai trouvé magnifique.

Moi non plus , les gouts et les couleurs quand je regarde le site d' olivier chauvignat ça me donne vraiment envie d'essayer et voir même de participer à ses stages .

Il y en a qui sont graves... Je rejoins complètement l'avis de Remi.

gégé

gégé67 wrote: Il y en a qui sont graves... Je rejoins complètement l'avis de Remi.

gégé

Ben non... On a le droit de ne pas aimer ça et de le dire, c'est tout... Personnellement je ne déteste pas, je suis admiratif de ceux qui maîtrisent cette technique, mais c'est tout...

Bon, il faut tout de même argumenter un peu.
Qu'un photographe (ou un graphiste) un jour de grand vent et d'ennui insondable se prenne à torturer des courbes dans photoshop avec une image plate à mourir et tente de donner "un effet" à quelque chose qui n'en a pas, c'est commercialement justifié.
Que cet effet soit jugé "novateur" et accroche justement par sa nouveauté, why not. Qu'on lui trouve un cachet particulier (encore que ce procédé est employé depuis l'aube des temps et par d'autres techniques sur les "bêtes" photos qui illustrent les salons de coiffure, justement parce qu'en tirant trop clair et en faisant disparaitre le visage, on attire l'attention sur les seules zones résiduelles: les cheveux et les yeux) ça va un temps. Et c'est valide pour ceux qui auront eu la créativité d'installer ce "procédé" - car c'est un procédé, rien de plus, qui a l'avantage de cacher bien des erreurs de prise de vue en les faisant disparaitre "dans le masque", on peut comprendre. Pourquoi pas.
Mais pour quelques personnes et pour un temps déterminé. Et puis il faut passer à autre chose. Parce qu'à force de de faire dégouliner du petit suisse sur fond blanc avec l'éclairage le plus facile qui soit, ça mène franchement au bord du malaise. Ad nauséam.
Pire on assiste à des "découvertes techniques" réalisées par ceux qui vendent ce produit et qui de plus en sont fier: le fameux "bol beauté" en tant que réflecteur (déjà, l'expression sent son marchand de soupe) alors que ce type de réflecteur s'utilisait déjà du temps ou le flash électronique n'existait pas! Top génie, les découvreurs!
C'est un peu pareil avec les désaturations sélectives, les photos ou tout est flou sauf le point le moins intéressant qui reste "sharp", les photos de mode au 400 2.8 ou rien n'est net non plus, et surtout pas le vêtement (on est des createurs hein, méprisons le produit qu'on nous charge de promouvoir, ça fait plus "pensé")....
Un vrai photographe aurait découvert le procédé en question, s'y serait attardé pour quelques travaux histoire de voir ce qu'il y a - ou pas- à en tirer, et serait déjà passé à autre chose alors que les suiveurs s'en donnent à coeur joie à répéter cette petite disgression comme si ils venaient de découvrir les Tables de la Loi. Définitives et universelles.

Bon, oui, ça me gonfle.

V.

Ah un détail: ce n'est pas du high key: c'est du bidouillage photoshop.

High Key veut dire qu'on joue une partition sur des gammes claires, ça ne consiste pas à faire disparaitre tout ce qu'on peut par un coup de baguette magique.
Un éclairage doux, avec peu d'ombres portées, lesquelles doivent rester délicates (et pas supprimées) et le maintien de quelques zones foncées (et pas leur élimination).

Pour ceux que ça intéresse, dans les années 50/60 on avait par exemple des photographes tels Sam Haskins qui ont joué avec ce mode d'expression. Bien, eux. El là, c'était novateur.

V.

vdragon76 wrote:Ah un détail: ce n'est pas du high key: c'est du bidouillage photoshop.

High Key veut dire qu'on joue une partition sur des gammes claires, ça ne consiste pas à faire disparaitre tout ce qu'on peut par un coup de baguette magique.
Un éclairage doux, avec peu d'ombres portées, lesquelles doivent rester délicates (et pas supprimées) et le maintien de quelques zones foncées (et pas leur élimination).

Pour ceux que ça intéresse, dans les années 50/60 on avait par exemple des photographes tels Sam Haskins qui ont joué avec ce mode d'expression. Bien, eux. El là, c'était novateur.

V.

Y a pas que du faux dans ce que tu dis vdragon .Je suis du même avis pour la retouche et comme d'hab c'est à la PDV que tout se fait .En tout cas,j'aimerai apprendre la gestion de la lumière après quand j'aurai compris comment marche mon cobra complétement débutant en ce moment

Merci pour ton commentaire, Rémy mais le portrait d'Amélie n'était pas, à proprement parlé, un High Key...parce que je n'ai pas fait de traitement dans ce sens... je dirais juste que la lumière était plus ...hum... lumineuse que d'habitude...!!!
Moi aussi, je trouve que cette technique donne beaucoup de dynamique à certains sujets...et j'aime vraiment beaucoup...
Mais la maitrise ce cet art n'est pas évidente du tout...

Maximor

High key do..



Bon ok je file..