La communication est la clef de tout... mais bon, on ne parle plus spécifiquement d'informatique
Dernièrement, j'ai vu un gros reportage sur l'addictivité des jeux vidéos. Ca commençait mal, avec des stéréotypes qui ont tendance à m'ulcérer (le gamin qui se suicide à cause des jeux vidéos, alors que à la base, il était déjà bien entamé niveau terreau depressif), car les technophobes ne se contentent de nous refaire _exactement_ le même coup d'il y a 10-15 ans, avec les jeux de rôle. Finalement, le reportage a bien avancé, et, ayant une vue intérieure (ayant été quelques temps gamer en plus de roliste dans une école de geek spécialisation geek) j'ai tout à fait apprécié le parallélisme subtile qu'ils ont fait, entre des gamins censés être interdits, et dont le sujet du "online" au sens large est limite tabou (méconnaissance des parents ==> craintes et n'aime pas être dépassé par ses enfants dans un domaine ==> incompréhensions, rupture de dialogue, injustice ==> déconnexion du môme pour être dans "sa bulle" online) et une famille qui laisse faire, tout en s'intéressant (enfin, en essayant), en discutant, et même, en emmenant le préado à une LAN. Ben dans le 2ème cas, le gamin est grave plus mature, dans le sens où, même si il joue beaucoup, il n'y a pas cette rupture sociale tant redoutée.
Tenter d'encapsuler un môme dans une bulle stérile, le rendra à contrario plus vulnérable à la moindre exposition à une saleté.
Mais c'est facile d'écrire ça quand on n'est pas parent
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