Pour les maniacs du matos : un Canon en Afghanistan

[Kahouane]

c'est qu'on doit être des has-been, Fynchi. Chacun son truc ...
(ceci dit, je plussoie fred, mais ça dépend des gens, chacun sa manière de faire et vivre sa vie

Le seul truc c'est qu'ici il ne s'agit pas de vivre sa vie mais de la gagner.
Son appareil est un outil, un outil prévu pour endurer des traitements de ce type (d'où le coût du matos) donc il se sert de son outil comme il peut l'être.
Le matériel de Depardon dans le même pays 30 ans auparavant a du subir les mêmes contraintes et pourtant Depardon ne bossait pas pour AP.

De toute façon ça m'étonnerait beaucoup qu'ils se trimballent partout avec l'appareil et les objectifs bien rangés dans des caissons sous vide d'air et matériaux dessicants

[xeal]

Je dis peut être une connerie mais il est probable que quand on photographie avec des balles qui sifflent au dessus de sa tête, on fasse plutôt attention à sa vie qu'à son matos. M'enfin j'y connais rien hein !

@+
Alex.

[xeal]

C'est quoi cet eos ? Je le trouve un peu carré par rapport au designs canon récent. J'ai cru à un eos 3 au début mais je suis pas sûr en fait.

@+
Alex.

[Coq]

Ça m'a l'air d'être du 1D ça

[flush]

et on veut me faire croire que le put1 de pare soleil en plastique velours est toujours entier dans ces conditions ?

foutage de tronche spotted

[Fynchi]

Au risque de te contredire, oui, il tient!

[remi_fr]

Contrairement aux idées reçues, il est préférable que le pare-soleil ne soit pas trop résistant, afin qu'il puisse jouer un rôle d'amortisseur en cas de choc.
Un pare-soleil très solide en laiton transmettrait directement l'impact du choc à l'objectif, risquant de le détruire. Un pare-soleil en plastique se déformera, se cassera peut-être sous le choc, mais réduira d'autant l'impact sur l'objectif.

Alors, à choisir entre un bout de plastic (vendu bien cher chez Canon, on est d'accord) et un précieux objectif...